Gabriel Fitz (validé)

Nom: Fitz Prénom: Gabriel Lynn Surnom: Sa mère l’appelait souvent "petit Pierrot", en référence aux lorialets, enfants nés d'une femme et d'un rayon de lune. Avec son regard rêveur, sa blancheur et son goût de la nuit, elle trouvait cela tout à fait indiqué. Âge: 17 ans Orientation sexuelle: Bisexuel Nationalité: Allemand Année: 2ème année

Élément: Eau Pouvoirs: • Contrôle de l’eau • Contrôle de la glace • Solidification

Gabriel est le croisement expérimental effectué entre un bisounours et une pâte de fruit à la framboise. Pas forcément réussi. Il est très naïf, bien que certaines illusions lui aient été ôtées il y a peu. Il déteste la violence, et ne supporte pas de voir quelqu'un malheureux. Il ne sait pas se mêler de ce qui le regarde, et fait montre d'une curiosité parfois gênante. Il est très câlin, et souvent en manque d'affection, fait dont il se venge largement sur sa peluche attitrée, Zéphyr. Qui ne le dira pas mais qui aime bien les câlins de son bonhomme. Il aime faire le pitre, danser, courir, sauter, et par dessus tout, être à l’extérieur. Pour se sentir bien, Gabriel à besoin de se sentir libre. Drôle de Pierrot, il est contemplatif et aime la beauté. Il dessine, et à un oeil étonnamment critique, pour quelqu'un d'aussi paumé. Travailleur, il ne rechigne jamais devant une tâche quant il en à compris l'utilité. Son ambition future est de devenir avocat ou juge, afin de faire respecter les lois en vigueur et d'aider les gens de manière concrète. Il est difficile de le mettre ne colère, et s'il n'est pas difficile de le faire pleurer, son caractère trop tendre étant la cause de profusions de larmes, il se remet très vite. Entêté, lorsqu'il veut quelque chose, il ne lâche pas le morceau. La mort de sa mère entraîne une sorte de dépression. Il se rend compte de sa solitude, chose à laquelle il n'avait jamais réfléchit avant. Il traverse une mauvaise passe, qui ne durera pas. Bien qu'il soit naïf, il sait comment est le monde, et comment sont les gens, leur mesquinerie. Sa manière à lui de lutter, c'est d'essayer de faire rire et sourire.


Il aime, il adore, il supplierait, se damnerait pour de la neige. Il aime la glace au sol, le ciel blanc de nuage, l'humidité stagnante. Rien ne le ravit plus que la pluie. A l'inverse, il n'apprécie pas les temps trop ensoleillés. Véritable poisson, il adore nager, et user de son don est un jeu et un déstressant auquel il a recours sans arrêt. Il a toujours sur lui une petite gourde, qu'il trimbale ou qu'il aille. Il aime les températures basses, et bien que le froid l'atteigne, ses origines nordiques le rendent plus imperméable que la plupart des gens. Son dessert favori est tout naturellement la glace, sa préférence allant à celle à la vanille et au chocolat, et il en mange tout le temps. Grand amateur de friandises, il a toujours des sucreries dans son sac de cours et quand il n'a pas cours, sur lui. Il n'aime pas trop tout ce qui est trop salé, et les boissons gazeuses. Après, gastronomiquement parlant, il n'est pas très difficile. Disposant d'un appétit d'ogre, il n'est jamais rassasié. Il aime les peluches, et en a trois tonnes sur son lit, de toutes tailles et toutes formes. Sans être grand lecteur, il n'a rien contre un peu de lecture de temps en temps. Rien ne le ravit plus q'un joli conte de fée romantique, et cela arrive souvent de le retrouver le soir, un livre à la main, racontant l'histoire à voix basse pour que Zéphyr en profite aussi, même si vu qu'il partage ses pensées, le fait qu'il prononce est parfaitement inutile. Son livre de chevet est "le petit prince". Il aime la poésie et la douceur mélancolique qui se dégage de se livre.


Joa Fitz, jeune fille allemande née d'une famille nombreuse d'agriculteurs et artiste dans l'âme, c'était rendue à la Berlin afin de poursuivre ses études et d'intégrer une école de dessin cotée. Elle avait laissé sa famille sans rancoeur, aucun amour profond ne la liant à ses frères et soeurs, enfants comme elle, de la misère. Elle avait eu une enfance difficile, passée à cultiver les champs. Ces seuls moment de répits arrivaient le soir, mais au lieu d'en profiter pour se reposer, Joa étudiait. Elle avait la passion de l'apprentissage, et le pasteur qui servait de professeur dans cette petite ville de province l'avait bien compris. Se serait sans doute la seule personne qu'elle regretterait... C'était grâce à lui qu'elle pouvait aujourd'hui tenter de faire ce qui lui plaisait vraiment, de toucher à son rêve. C'était un départ sans retour possible, la capitale se trouvant à des jours entiers du lieu ou elle avait grandit. Elle se hissa seule, à force de détermination et de travail jusqu'à son objectif, et parvint à intégrer l'établissement qu'elle avait choisi.

Elle y était depuis deux ans, lorsqu'elle rencontra Manabu Fujiwara, jeune homme d’affaires de visite. Ce fut le coup de foudre pour elle, un passe-temps pour lui. Il eurent une liaison passionelle. Elle savait pertinemment être en présence d'un homme marié, mais n'en avait que faire. Elle était jeune, amoureuse, et ne pensait pas que cette idylle prêterais à conséquence. Erreur... Les préservatifs ne sont après tout fiables qu'à 99 pour 100. De leur jeux amoureux, il resta un petit quelque chose. Petit quelque chose qui fit s'arrondir son ventre, et l'obligea à abandonner ses études pour trouver un travail. Joa était enceinte. Elle ne tira de se fait aucune amertume, et n'essaya pas de retrouver cette rencontre trop brève qui avait émaillé sa jeunesse et qui avait une vie et une famille. Reparti au Japon? Qu'il y reste. Le fait d'attendre un enfant ne fut pas une fatalité ni un drame. Joa voulait des enfants. Elle en voulait de manière certaine, même si elle c'était imaginée les avoir après que ses études soient finies, et surtout avec une personne qui serait présente. Mais après tout, elle avait eu celui-ci avec un homme qu'elle avait aimé. Cet enfant, elle le voulait, et se serait le sien. Elle l'aimerait, il ne manquerait jamais de rien. Elle l'entourerait et lui offrirait tout ce qu'elle n'avait jamais eu...

Gabriel naquit en plein hiver, le 14 décembre, un matin ou la neige tombait drue. Sa mère, pour pouvoir subvenir à ses besoins, avait prit un travail. Elle avait été embauchée dans une usine de montage à la chaîne, et cela servit en grande partie à équiper le nouvel arrivant. Elle ne put pas prendre de congé maternité, et reprit le travail trois jours après, ne tardant pas à en cumuler deux, un de jour et un de nuit, ce jusqu'aux trois ans de l'enfant. Elle gardait son petit auprès d'elle, sous la surveillance de Lillandril, son daemon. Le temps passa. Comme il mangeait désormais la même chose qu'elle et qu'il était propre, Joa inscrivit son fils à l'école. Elle n'occupait plus qu'un seul emploi, celui de nuit, qui démarrait à 8 heures du soir et s'achevait à 7 heures le matin. Cela lui permettait de mener son fils à l'école, puis de dormir, et d'être là pour aller le chercher et s'en occuper toute la fin d'après-midi jusqu'au moment de le coucher. Elle était serveuse dans un bar ouvert 24h/24. Elle se lia d'amitié avec la patronne de l'endroit, et celle-ci la prit sous son aile.
Tout cela continua bien gentiment. Joa sortait son fils dès qu'elle le pouvait, et ils passaient les week-end au dehors, qu'il neige, vente ou pleuve. Elle lui apprenait à siffler les oiseaux, a danser, riait, chantait pour lui, le coursait. Gabriel adorait sa mère. L'école était pour lui une sorte de punition, car il ne supportait pas d'être séparé d'avec elle. Arrivé à l'équivalent du cp cependant, il se mit à travailler d'arrache-pieds. En effet, chaque bonne note provoquait une cascade de sourires chez celle qui comptait le plus pour lui. Gabriel atteind l'âge de huit ans. C'était un petit garçon turbulent et plein de vie. Il n'était pas rare que sa mère et lui passent une à deux heures dans le bar ou elle travaillait l'après-midi, et qu'ils donnât un coup de main gratuitement.

C'est d'ailleurs dans ce bar qu'eut lieu sa première rencontre avec son père. Bien sûr, l'enfant curieux avait posé des questions, mais elle avait toujours évité de répondre, et il c'était imaginé que celui-ci devait être mort. Aussi, quand l'homme aux yeux bridés s'approcha de sa mère et de lui, occupés à parler avec Mme Hungder, la gérante, et qu'il vit sa mère devenir blanche comme neige, lui sauta-t-il à la gorge pour le frapper. Un sentiment de peur non contrôlé l'avait saisi à l'apparition de cet homme dont il ignorait tout. Sa mère ne réagit pas, et c'est ce grand bonhomme aux yeux bridés qui fini par l'immobiliser pour qu'il arrète de le frapper.

"Fils."

Hein? Quoi? Comment? Grands yeux tout pleins d'incompréhension. Ce type avait perdu son fils? Et pourquoi il le regardait comme ça Et pourquoi sa mère c'était-elle mise à pleurer?

Joa n'avait jamais dit qu'elle avait un fils. Elle ne sut jamais comment il l'avait découvert. En effet, le fait que Manabu soit Japonais lui avait fait craindre qu'il ne veuille lui enlever par la force. Mais il n'avait rien de tout cela en tête, fort heureusement. Il proposa cependant de le reconnaître et de lui donner son nom, prenant en main ses responsabilités. Elle refusa, arguant du fait qu'un patronyme japonais n'aiderait pas Gabriel dans sa vie future, qu'il passerait vraisemblablement en Allemagne. Après cette entrevue, qui dura trois heures pendant lesquels M Fujiwara posa moultes questions et fit quelques offres d'ordre financières qui furent toutes repoussées par Joa, et que Gabriel passa à tenter d'atomiser des yeux cet homme moche qui faisait encore trembler maman tandis que son daemon Zéphyr, crachait et montrait les crocs, il y en eut deux autres, à 4 ans d'intervalles chacunes. Gabriel accueillit l'homme avec froideur les deux fois, mais hors présence de sa mère. Il posa des questions sur sa vie, mais n'apprit rien qu'il ne savait déjà, à savoir que son père était marié à une autre, et qu'il dirigeait une université au Japon. L'homme était froid et parlait peu, et Gabriel trouva ces deux fois désagréables.

Son collège et son lycée se passèrent sans accroc. Il découvrit qu'il était tant attiré par les filles que les garçons vers ses 14 ans, mais n'eut jamais d'histoire amoureuse, devenant d'une timidité maladive dès qu'il s agissait de parler d'amour et bien trop prude pour imaginer du sexe sans sentiments. Sa mère tomba malade vers la fin de son collège. Elle n'avait pas eut une vie facile, et cela la rattrapait . Il s'occupa d'elle comme elle l'avait fait avec lui, mettant de côté les quelques amitiés qu'il avait, passant tout son temps libre auprès d'elle. Elle qui continuait à travailler. Gabriel se mit à la tâche chaque soir en rentrant du lycée, Mme Hungder comprenant et acceptant de l'embaucher. Les week end, il la sortait, et faisait ses devoirs. Toute sa bonne volonté n'y put rien.
Elle s'éteignit l'année de ses 17 ans. Gabriel sombra dans la dépression et se renferma sur lui-même. Mme Hungder le recueillit, le petit appartement ou il avait grandit fut saisi. Il continua de travailler avec une sorte de rage, voulant exceller. Pour elle. Il allait à l'école pour elle... La gérante du café fit tout ce qu'elle put pour le faire aller mieux, et dans un sens, cela marcha.

Le père, que Gabriel avait vu un an plus tôt se manifesta et le réclama auprès de lui. Sachant qu'il ne pouvait rester chez la femme qui le gardait indéfiniment sous peine de voir accourir les services sociaux, et sachant que l'homme qui lui servait de géniteur avait un cancer en face terminale, il céda à la requète. Le fait de quitter l'Allemagne l'"aurait chagriné autrefois, mais en cette période, il s'en fichait. Plus rien ne lui importait. C'est lors du voyage qu'il apprit que son tuteur légale pour l'année à venir serait son frère, Mael. Deux nouvelles en quelques secondes. Il avait un frère, et se serait qui plus ai le directeur du lycée ou il allait étudier. Gabriel ne savait comment il devait réagir. Zéphyr, sa douce compagne, était toujours là, présente et douce, et l'apaisait chaque instant. Lorsque l'avion se posa, il descendit, presque serein. Le fait d'arriver dans un pays dont il ignorait tout et parlait vaguement la langue n'était pas pour le réconforter.


Il a une fibule (pendentif courant à l'époque romaine, une bulle d'or censée protéger) constamment accrochée autour du cou. C'est un don de sa mère, et il y tient énormément. Arrivé depuis peu, il ne parle pas très bien japonais, et donc économise les mots, s'exprimant peu par la parole et plus par les gestes et le regard.









Âge: 21 ans
Prénom: ///
Double compte ? Non
[b]Présence (note sur 10) Totalement aléatoire
Comment avez vous connu le forum ? Par un membre qui se reconnaîtra
Avez vous lu la trilogie " A la croisée des mondes" ? (ou éventuellement vu le film) : Les deux. Le film est d'ailleurs décevant, bien en deça de la trilogie.
Codes: OK

Bienvenue \o/

Bon ben j'ai rien à dire =)

Bienvenue, petit frère =D

Tu es chambre de Mael numéro 3.
Bon rp parmi nous !

Oh, mais ne t'inquiètes pas, si je fais des cauchemars je viendrais dans ton lit, pervers grand frère!

Merci^^