I. Personnage Nom: TatsukiPrénom: EmiSurnom: Il n'en a pas.Age: 18 ansOrientation sexuelle: Homosexuelle.Nationalité: Japonaise (origine française)Element: EauPouvoirs:• Mnésie
• Contrôle de la glace
• Apaisement
Année: 3 ème.Histoire: L'histoire d'Emi commença comme toutes les histoires commencent: par un « je t'aime » précédant le « Je ne veux plus jamais te revoir ». Déjà une erreur avant d'être née, ses parents le jugèrent ainsi sans l'avoir vu, ils rejetèrent leurs propres faute sur celle d'un enfant qui n'avait même pas encore vu le jour. Une simple erreur d'un soir, qu'ils leur a pourtant faillit assumé. La mère d'Emi accoucha sous X en disant qu'elle ne voulait pas le voir. Il fut mit en foyer et y resta pendant trois mois. Contre toute attente, le père du petit garçon vint le reprendre, accompagné de ses parents. Il ne voulait pas de lui, en vérité il comptait l'oublier et ne plus jamais citer cet enfant. Pourtant, lorsque ses parents apprirent la vérité, ils ne voulurent rien entendre. « Un sang si pure de haute lignée ne peut pas être élevé par des gueux. » Car le père d'Emi était en effet de haute lignée, une lignée qui c'était prélassé pendant des centaines d'années, mais qui à présent dirigeaient une grande chaîne de vêtement, la nouvelle société oblige. Il aurait été préférable pour ce petit d'être adopté par une famille aimante, or il continuait d'être une erreur rejetée, collé à une famille sans sentiment qui ne voulait même pas de lui, pour la simple raison que ses ancêtres avaient eut le mauvais goût de se faire anoblir.
Emi grandit sans se poser de question sur ses origines. Il lui était interdit d'aller à l'école. On lui attribua une éducation « exemplaire », sans autres enfants, sans jeux, sans coloriages, sans comptines. On lui apprit le savoir vivre, comment penser, l'art de la parole en plus des matières habituelles. En dehors des cours, il apprenait le piano, on lui enseigna les arts. Mais le plus important surtout: compter, car l'argent, c'est le blason de la famille. Emi n'en souffrait que peu: il n'avait rien connu d'autre que l'indifférence et le méprit. Lorsqu'il eut cinq ans, son père trouva un bon partie. De ce nouveau gagne pain irlandais naquit cinq filles. Emi les détesta tout de suite, à la seconde où, à un an de décalage ni plus ni moins, elles montrèrent le bout de leurs crânes de femelle chauve. Mais c'est de la naissance de sœur n°1 que lui vint une idée étrange: qui était sa mère? D'où venait ses cheveux châtains clairs, et ses yeux bleus? Son père était pourtant bel et bien japonais. Cependant la question il ne la posa pas: dans la famille on ne se parle pas inutilement. Et si jamais le sujet avait été abordé, il aurait été punit pendant des mois...
Lorsque n°5 naquît, Emi avait déjà bien grandit. Il était grand, trop grand pour un japonais, ses cheveux étaient devenus blonds avec l'âge. Mais la plus grande transformation était sans doute possible son attrait pour la lecture. « Une perte de temps. » Et oui, dans la famille on étudie la gestion, la comptabilité: l'étude du fric quoi. Mais tous ses chiffres le dégoûtaient, lui donnaient presque la nausée. Il développait un méprit profond pour les math, les chiffres et tout se que cela comportait. Pourtant, étant un être humain, les billets il les adoraient et les collectionnaient.
A douze ans, il fut envoyé en pensionnat. Une nouvelle vie commença. Sans s'en rendre compte, pendant toute sa vie Emi avait été malheureux, lui, avait simplement conscience de ne jamais avoir été heureux. Et lorsqu'il fut libre, enfin, libre de pouvoir lire sans prendre une réflexion, libre de manger se qu'il voulait, libre de crier s'il lui en prenait l'envi...Or ce trop plein de bonheur, de sensation eut un effet très néfaste sur lui. Pas au début bien sur. Après l'école il se contentait d'aller acheter tout se dont il avait envi: il abusa par conséquent de tout se qu'un enfant ne devrait jamais manquer: de bonbons, de chocolat...Puis vint la musique. Le classique que les grand-parents passaient l'avait rendu malade, ainsi, lorsqu'il découvrit le rock il prit conscience du bonheur pour la première fois.
Il parlait peu à ses compagnons d'internat. Ils les méprisaient. Des bourgeois comme les autres, sans aucun attrait, sans aucune saveur, pourri jusqu'à l'os. Ainsi, se détestait il également. Il passa deux années à découvrir seul la vie. Il se mit à classé ses plaisirs, ses envies. Il avait tout se qu'il désirait, sans exception. Cependant, il n'en avait jamais assez pour s'en lasser. Il adorait particulièrement lire un livre, étendu sur son lit, avec le mp3 qui criait du nirvana dans ses oreilles, un paquet de m&m's sur la table de nuit. Or, il commença à grandir. Ses envies changèrent, de Harry Potter il passa aux liaisons dangereuses, Agatha Christie s'inclina devant Zola. Il aimait lire le malheur des autres, afin de mieux profiter de son bonheur. Bonheur, ou pas, puisqu'il était seul, pourtant il ne recherchait pas la compagnie. Jusqu'à une nuit, il avait quatorze ans et demi.
Il se promenait tout seul, le mp3 transformé en i-pop dans les oreilles, il faisait nuit. Un gang de garçons passaient par là, ils faisaient beaucoup de bruit, Emi qui ne jurait que par le silence se leva d'un bond pour trouver un coin plus calme. Les garçons le rattrapèrent. C'étaient le genre de voyous que personne n'aime, des punks, des alcoolos, des drogués, des gens paumés. Pour la première fois, Emi devint le centre de l'attention. « T'es qui toi? », « T'es mignon. » « T'es un vrai blond? », « Tu viens d'où? », « C'est quoi c'te veste, t'es un bourge? », « T'aimes de shit mon pote? ». Premier dilemme de sa vie, se ne sera pas le dernier, quoique celui ci eut beaucoup d'importance. Il aurait put trouver ses gueux inutiles et rentrer au pensionnat, il choisit de prendre le joint que les gars lui tendait. Cette nuit là, ils les suivies. Parlant peu, écoutant beaucoup. Ses mecs, ses paumés de la vie comme on les appellent, n'étaient pas comme on aurait pu le croire. Alors qu'il était seul, se n'était pas la gentille maman de famille, pas l'étudiant cool, pas le petit papi tout mimi, pas les associations d'aide aux jeunes, mais ses types qui lui avaient tendu la main. C'était Emi, le vrai paumé...
Les types étaient âgés de dix huit à trente ans. Ils étaient huit. La majorité des gars avaient entre dix huit et vingt ans, seul deux avaient vingt cinq et trente ans. Ils étaient très loin du milieu social d'où venait Emi, et pourtant il se plaisait là où il était. Désormais, il passait tout son temps avec ses types. En six mois il apprit toute une vie. Huit pour être précis. « La vie est dure. Ok, ça on sait. Après p'tit, t'as deux choix. Ou vivre juste pour vivre: famille, boulot, dodo. Ou essayer de la rendre agréable. » Il choisit cette option. Premières cuites, premiers joints, mon dieu qu'il aimait ça. Il n'était plus sur terre. Pas d'abandon, pas de méprit, pas de routine, il rêvait, était dans son monde parfait, il paraît loin, très loin, il était bien...Très vite ses moments de béatitude devinrent son quotidien. Il avait ça, plus ses petits plaisirs, plus des potes: on peut dire qu'il était presque heureux.
A quinze ans, un des types de la bande, le plus jeune, commença à le regarder bizarrement. Puis lors d'une soirée entre potes alors qu'il était très tard, il commença à le déshabiller. Emi n'avait jamais tenter quoi que se soit dans ce domaine. Mais le peu que se gars le caressait lui plaisait. Alors il se laissa faire. Il ne le regretta pas du tout. En une seule soirée il venait de découvrir qu'il était gay et avait couché pour la première fois mais il n'avait ni peur, ni ne se sentait bizarre. En faite, il l'avait toujours su s'en se poser vraiment la question.
Pendant une année, Emi continua sur sa lancée. Il rencontra quelques garçons avec qui il passait du bon temps. Mais très logiquement il ne croyait pas en l'amour, puisqu'il n'en avait jamais reçu. Et puis, à seize ans, son ingrate famille le rappela à eux. Il en fut écœuré et terriblement blessée. Il avait une vie, une vie qui lui plaisait, il se l'était construite et voilà qu'un cauchemar venu du passé le rattrapait. Cependant une seule raison le poussa à revenir: il voulait savoir qui était sa mère. Il retourna au manoir de son enfance qu'il retrouva avec dégoût. N°1,2,3,4 et 5 avaient bien grandit. Super, c'était pire que avant. N°1 était folle du boulot, elle ne jurait que par ça, son rêve: être une brillante avocate. N°2 collectionnait les mecs dans le dos des vieux. N°3 était une sportive stupide qui avait soit disant la gagne et qui méprisait les loosers (qui comptait 90 pour cent de la société.) N°3 était une petite prodige. N°4 était tapi dans l'ombre de ses sœurs. Et N°5 jouait encore à la poupée. Quatre ans, il était partit pendant quatre années, et maintenant retour à la case départ. Mais il n'avait pas fait tous ses sacrifices pour rien. Le soir même de son retour il se planta devant son père et posa la question interdite. Les vieux en furent outrés, ils crièrent au scandale et l'insultèrent de tous les noms. Pendant une heure entière la bataille fit rage. Et puis, le père prit son rôle pendant une minute: la première de sa vie. Il cracha le morceau: Jeunes, une erreur, Diana, française, blonde comme toi. Cela lui suffit. Il n'avait pas besoin d'en savoir plus. Qu'elle ne s'en face pas, il ne la chercherait pas, car elle avait eut le mérite de faire le bon choix, s'il n'avait pas eut de père, il aurait pu être heureux.
Il fit ses bagages et partit. S'en suivit de nouveau la solitude. La drogue, elle, était là. Et pourtant comme tout le monde, elle l'abandonnait, ses trips n'étaient plus aussi rose que avant. Il passait ses journées dans l'horreur qu'il avait voulu fuir en prenant son premier joint: la routine. Une terrible routine. Il se lève, il mange, il marcha au hasard des rues toute la journée, il se couche. Il aurait put mener la grande vie avec son fric, mais il n'en ressentait même pas le besoin. Et un jour un miracle se produit. Il était assit par terre, sur un trottoir, il badait, comme à son habitude. Et quelqu'un c'est arrêté. Encore une fois se n'était pas les associations, pas les gens bien vu mais une jeune fille, tout se qu'il y a de plus banal. Il leva les yeux vers elle, elle lui souriait, lui tendait la main. Il la saisit. Il la suivie. Et ne capta plus rien jusqu'au lendemain matin. Il se réveilla dans un petit appartement, chez elle. Elle était dans la cuisine en train de préparer des pancakes. Elle lui sourit. Bien qu'il soit gay, il la trouva magnifique. Ils mangèrent en silence, mais les yeux de la jeune fille brillaient de gentille. Ainsi, ça existait? C'est elle qui prit la parole en première. « Qu'est se que tu faisais par terre? »; « Rien. »; « Tu t'appelles comment? »; « Emi. »; « Tu viens d'où? »; « Peu importe, j'y retournerais pas. »; « Alors, tu peux resté ici. J'ai pas grand chose, mais se que j'ai je le partage volontiers. » Il resta à la regarder, choqué par ses paroles, il n'y croyait pas, et pourtant. Une semaine passa. Elle était toujours souriante, toujours gentille, elle intéressait à lui. Il ne comprenait pas cette fille, et pourtant il trouvait cela agréable. Il se sentait bien, pas bien comme au temps du gang, mais paisible, heureux, il avait une vie. Il se mit à vouloir l'aider. Et c'est en apprenant à cuisiner avec elle qu'il apprit qui elle était: Yumi, étudiante en art, son père était commerciale, sa mère secrétaire, elle avait une petite sœur qui s'appelait Sakurako et qui adorait Puka et Hello Kitty. Étrange, se qu'elle racontait l'intéressait. C'était pourtant banal, stupide, niais, naïf, mais il aimait ses histoires. Au bout d'un mois, il lui raconta son histoire par petit bout. Seul, riche, sa famille, sa mère, le pensionnat, la drogue, les mecs. Elle écoutait sans faire la psy, elle ne pleura pas sur son histoire, mais en tira au contraire les bons côtés: « Bah! Au moins tu t'es bien amusé! C'est quoi ton type d'homme? Moi je suis fan de Miyavi! ».
Ils vécurent heureux, amis pendant quelques mois, Emi ne s'inquiètait plus de rien. Il se levait, elle était là, il se couchait, elle était. Un peu comme la mère qu'il n'avait jamais eut, inconsciemment. Il commença à s'intéressé à plusieurs domaines, nottament les arts.Et pourtant, un jour, Yumi, due partir, ses années d'études étaient finit, et elle avait trouvé un travail au nord. Pas le choix, il la laissa partir, elle, la seule qui se soit jalmais interéssé à lui. Ils s'écriraient. Mais il avait changé, grâce à elle. A présent qu'il avait connu le pire et le meilleur il comptait trouver un juste milieu. Il était si jeune et avait déjà trop connu. Sa personnalité c'étaot plus affirmé, et c'était transformé en quelque chose entre se qu'il avait vécut et l'éducation qu'on lui avait donné. Alors, que font les jeunes de son âge? Ils vont à l'école. Yumi lui conseilla bien entendu l'art. L'art? Pourquoi pas? C'est vrai qu'il avait une bonne formation, il aimait ça, de plus il était naturellement doué, surtout en dessin. Il se renseigna donc pour intégrer une école. Il tomba sur la brochure de cette école. Les autres étaient plus chères, plus pretigieuse, ainsi son choix se porta sur celle ci.
Description physique: La première chose que l'on remarque lorsque l'on voit Emi pour la première foit ce sont ses yeux d'un bleu très clair. Du moins, c'est se que les gens qui le croisaient dans la rue remarquaient, car il était vrai qu'il possedait des yeux magnifiques. Ensuite venait son visage angélique, assez fin, avec des paumettes rondes. Il avait un petit nez, une jolie bouche. Des cheveux mis long blonds tombent sur ses épaules, quelques mèchent tombant devant ses yeux. Bref, il était beau, et ne s'en plaignait pas, car il appréciait assez les regards que l'on jettait sur lui, puis les rougissemant qui s'en suivaient. Niveau corps, Emi est un garçon assez grand, fin sans trop l'être, il prend soin d'avoir de beau bras et un beau torse. Sinon il n'est pas rare de le voir un casque sur les oreilles ou une clope à la bouche. Il s'habille plutôt bien quoiqu'il n'apporte pas non plus un grand interet à la mode. En général il porte un tee-shirt sans manche un peu trop grand, laissant apparaître légèrement son torse et des jeans amples. Niveau chaussures il apprécie les converses. Il porte également un bracelet noir et une chaine avec un pintacle. Il n'a pas l'air d'être un bourge, on ne le découvre que lorsqu'il sort des liasses des billets chiffonés de ses poches. Sinon il a toujours l'air blasé et froid, bizarre, ça attire les gens...
Caractère: Sans être le pire des voyous, il faut bien dire que Emi est plutôt du genre irritant. Il envoie souvent chier les gens, même s'il les apprécient, en faite: surtout quand il les apprécie. C'est sans doute sa manière à lui de leur prouver son affection. Avec lui, il faut lire entre les lignes, s'il dit "je t'emerde", cela peut très bien vouloir dire "je t'aime". En générale, il a très mauvais caractère mais il peut très bien se montrer sympathique si l'envie lui en prend, de plus qu'il c'était promit de faire des efforts pour se rendre sociable...Il a la très facheuse habitude de dire "Fuck" lorsque ça lui chante, même lorsqu'il n'a pas de raison particulière d'être énervé, une sorte de tic si on veut. Il est vrai qu'il garde néanmois des traces de son enfance et de l'éducation qu'on lui a donné, il est du genre autain au premier abbord, surtout envers les "prolétaires", mais encore une fois, cela ne signifi en rien qu'il ne les aiment pas.
Aime/Aime pas: Les m&m's, un vestige de l'enfance qui n'est pas passé. La musique, surtout le rock, mais plus généralement les musiques qui raconte des histoires pouvant le toucher, pour lui écouter une chanson sans la comprendre est un crime de la plus haute importance. Il aime fumer, des malboros quand y a plus rien, ou des lucky strike sinon. Il aime se promener sans but précit, juste parce qu'il a envit. Il ne fume plus de drogue, mais il a parfois du mal à résister à un petit joint, quand à l'alcool, c'est uniquement pendant les fêtes et les déprimes.
Il n'aime pas les couples amoureux naïf et niais qui se promènent dans la rue main dans la main en faisant du shoping. Il n'aime pas les filles, surtout les petites pouff. Il dit detesté Kawai, son daemon, mais allez savoir si c'est vrai.
Autre: Il trimbale pourtout son vieu sac avec ses tonnes de bouquins dedans. Code: OKII. Daemon Nom: Kawai
Sexe: M
Espèce: Panthère des neiges. (Se qui explique le don particulier de Emi: au lieu de l'eau, son élément est la glace)
Description physique: Kawai, on aurait pu choisir meilleur nom pour une aussi jolie petite bouille. Car bien qu'il soit à présent presque de taille adulde, Kawai reste desesperement petit et chétif. Du moins lorsqu'il ne montre pas ses crocs, qui eux, bien entendu on poussé. Son pelage est blanc comme neige, ses yeux bleus clair, la même couleur que ceux d'Emi. D'ailleurs, on peut noté des similitudes entre eux du point de vu physique, des petits rien, des expressions semblables, se qui est assez étrange, car Kawai et Emi sont pourtant de races extrêmement éloigné.
Caractère: Kawai énerve Emi autant que celui ci l'adore. Il est fan d'Emi et l'admire comme un dieu. Kawai est resté un petit garçon dans sa tête, un vrai gamin, il est mignon et aime particulièrement les jouets, obligeant Emi a traîner dans les magazins pour les gosses au moins une fois par mois. Emi et Kawai sont à la fois opposés et semblables. Kawai étant tout de même un jeune homme, il apprécie tout comme Emi la musique Rock, mais se desespère lorsque celui ci fume. (8 à 10 clopes par jours.) Bien que Emi dit detesté Kawai, se n'est pas tellement vrai, en vérité il l'aime beaucoup. Emi est avec Kawai comme il est avec les autres: éloigné, peu tendre, tout l'opposé du daemon. Kawai est sociable, calîn, très gai. Il est la petit touche d'optimisme d'Emi. Il raffole des Poki à la fraise.
III. Joueur
Age: Bientôt 17 ansDouble compte ? Si oui, qui ? NonPrésence (note sur 10): 7/10 (En semaine le soir normalement, en week-end cela dépendra mais je peux être là une bonne partie de la journée.)Comment avez vous connu le forum ?Un top site